par Emmanuelle Bonmalais

Mis à jour le 14/04/2025

Quand on cherche à soutenir le monde agricole, on en arrive vite à s’intéresser particulièrement aux plateformes de financement participatif spécialisées. Dans le paysage européen et français, deux acteurs majeurs se distinguent : LANDE et Miimosa. J’ai décidé d’analyser ces deux plateformes pour t’aider à comprendre leurs différences et choisir celle qui correspond le mieux à tes besoins en tant qu’investisseur.

Le financement participatif agricole a connu une croissance significative ces dernières années. En 2023, plus de 15 millions d’euros ont été collectés pour des projets agricoles via ces plateformes en France, montrant l’engouement croissant pour ce mode de financement alternatif.

Le positionnement de la plateforme LANDE

LANDE s’est rapidement imposée comme un acteur à part dans le paysage européen du financement participatif agricole. Contrairement à d’autres plateformes généralistes, LANDE a fait le pari de se spécialiser exclusivement dans les prêts garantis aux exploitations agricoles. Son positionnement est clair : proposer aux agriculteurs des solutions de financement adossées à des actifs tangibles, comme des terres, des récoltes ou du matériel, tout en offrant aux investisseurs une rentabilité attractive dans un secteur sous-financé.

Fondée en 2019 en Lettonie (sous le nom de Lendsecured), LANDE a connu une croissance rapide en très peu de temps. Sa stratégie repose sur une niche encore peu couverte : le financement des petites et moyennes exploitations agricoles dans les pays baltes, et progressivement ailleurs en Europe. Grâce à une politique stricte de sélection des projets — seuls 5 % des demandes sont acceptées — et à un ratio prêt-valeur bas (en moyenne 44 %), la plateforme veut rassurer les investisseurs malgré son jeune âge.

Autre aspect distinctif : LANDE fonctionne avec un seul initiateur de prêt (elle-même), ce qui lui permet de contrôler entièrement la chaîne de financement, de la sélection des emprunteurs jusqu’au recouvrement. En contrepartie, cela limite la diversification pour l’investisseur sur le plan des prêteurs.

Enfin, son obtention récente de la licence européenne de financement participatif (ECSP) confirme ses ambitions à l’échelle continentale. Bien que relativement jeune, LANDE affiche une volonté de professionnalisation et de transparence, avec des rapports annuels audités et un encadrement réglementaire strict. Elle cible clairement les investisseurs à la recherche d’un rendement solide, tout en s’engageant dans le soutien à l’agriculture réelle et productive.

 

Le positionnement de la plateforme Miimosa

Miimosa se positionne comme la référence française du financement participatif à impact, avec une spécialisation affirmée dans l’agriculture, l’alimentation durable et les énergies renouvelables. Depuis sa création en 2015, la plateforme a su se forger une solide réputation auprès des investisseurs engagés et des porteurs de projets en quête de sens.

Son modèle repose sur une double offre : les dons avec contreparties et les prêts rémunérés, ce qui lui permet de s’adresser aussi bien aux particuliers qui veulent soutenir des initiatives locales sans attente de retour financier qu’aux épargnants à la recherche d’un rendement. Ce positionnement hybride, centré sur la transition écologique et sociale, lui donne une identité forte dans l’écosystème du crowdfunding.

Miimosa s’inscrit dans une logique d’investissement citoyen, en favorisant la participation directe des consommateurs à des projets qui transforment concrètement le modèle agricole et alimentaire. Elle s’appuie sur un réseau de partenaires prestigieux — Carrefour, Danone, Airbnb ou encore Groupama — qui co-investissent sur certains projets, renforçant ainsi la crédibilité des porteurs et la confiance des prêteurs.

Autre particularité : Miimosa a lancé le premier fonds de dette privée dédié à la transition agricole, doté de 50 millions d’euros. Une initiative qui témoigne de sa volonté d’articuler financement participatif et outils institutionnels pour maximiser l’impact.

Avec un ticket d’entrée à 50 €, l’absence de frais pour les investisseurs et une plateforme simple à utiliser, Miimosa se veut accessible à tous. Son ancrage national, sa communauté forte de 500 000 membres et sa mission à impact la placent comme une plateforme incontournable pour quiconque souhaite conjuguer épargne et engagement.

 

Deux logiques différentes, mais complémentaires

LANDE et Miimosa proposent deux visions du financement participatif agricole qui, bien que différentes, se révèlent complémentaires. D’un côté, LANDE mise sur une approche très structurée, avec des prêts garantis par hypothèque, un processus de sélection très rigoureux, et une logique d’investissement orientée rendement. De l’autre, Miimosa s’inscrit dans une dynamique de financement participatif plus large, à mi-chemin entre investissement responsable et mécénat citoyen, en combinant dons et prêts rémunérés.

LANDE se positionne comme un outil d’investissement professionnel : chaque projet est sélectionné selon des critères financiers stricts (notamment le ratio prêt-valeur), et les prêts sont systématiquement adossés à des garanties réelles. L’investisseur y trouve une forme de sécurité (relative, comme toujours en crowdlending) et une certaine prévisibilité des flux. C’est une plateforme qui plaira à celles et ceux qui cherchent à placer leur argent avec une logique de rentabilité, tout en soutenant l’agriculture.

À l’inverse, Miimosa fait appel à une autre sensibilité : l’envie de contribuer à la transition écologique et alimentaire. Sa grande variété de projets, allant de la startup agroalimentaire au petit producteur bio, permet à chacun de choisir selon ses valeurs. Le rendement y est plus modeste, mais la portée sociétale plus marquée. C’est une plateforme qui s’adresse autant au cœur qu’au portefeuille.

Autrement dit, si LANDE s’adresse à des investisseurs en quête de rendement sécurisé dans une niche agricole, Miimosa s’adresse à celles et ceux qui veulent donner du sens à leur épargne. Rien n’empêche d’ailleurs de combiner les deux approches : utiliser LANDE pour structurer une poche d’investissement dédiée à l’agriculture, et Miimosa pour soutenir des projets à impact positif sur le territoire.

 

Critères de sélection des projets et processus d’accompagnement

LANDE et Miimosa ont deux approches bien différentes en matière de sélection et d’accompagnement des projets, ce qui reflète leur positionnement respectif.

Chez LANDE, la sélection des projets repose sur des critères financiers stricts. Tous les prêts sont garantis par des hypothèques, avec un ratio prêt-valeur (LTV) moyen autour de 44 %. Autrement dit, la valeur du bien mis en garantie est largement supérieure au montant emprunté, ce qui limite le risque pour l’investisseur. Seuls 5 % des projets soumis à LANDE sont acceptés, ce qui montre une vraie rigueur dans la sélection. En parallèle, les porteurs de projet doivent justifier d’une viabilité économique, notamment à travers une évaluation interne et une étude de marché. Le processus d’accompagnement est plus technique que relationnel : la plateforme agit comme un prêteur institutionnel, avec peu d’interaction publique autour du projet une fois celui-ci publié.

De son côté, Miimosa mise sur une approche plus humaine et pédagogique. Chaque projet est présenté avec une fiche très détaillée, incluant une vidéo, une présentation du porteur, les objectifs, les bilans financiers et un regard d’expert. La sélection dépend non seulement de la solidité du projet, mais aussi de son alignement avec les objectifs de développement durable. Miimosa accompagne ses porteurs en amont, parfois en lien avec ses partenaires (Carrefour, Groupama, etc.), pour les aider à structurer leur demande de financement. La plateforme joue aussi un rôle de médiation entre les porteurs et les investisseurs, via la possibilité de poser des questions ou commenter les projets en ligne.

En résumé, LANDE s’adresse à des agriculteurs établis cherchant un financement structuré, tandis que Miimosa accompagne aussi les projets émergents ou porteurs de sens, avec un accompagnement plus individualisé.

 

Voici un tableau comparatif des critères de sélection des projets.

Critères LANDE Miimosa
Focus principal Prêts garantis à destination exclusive des agriculteurs Projets agricoles, alimentaires et ENR (dons + prêts)
Durée d’engagement Moyenne de 19 mois (de 3 à 24 mois) Moyenne de 49 mois (de 12 à 72 mois selon le type de projet)
Montants moyens collectés Environ 22 000 € par projet Jusqu’à 100 000 € pour les dons / jusqu’à 1 million € pour les prêts rémunérés
Taux de sélection des projets Très sélectif : environ 5 % acceptés Sélection basée sur l’impact + viabilité, avec accompagnement personnalisé
Garanties exigées Hypothèques systématiques, ratio prêt-valeur moyen de 44 % Variable selon les projets, parfois sans garantie (notamment dons), pas de garantie systématique
Accompagnement des porteurs Technique et financier, peu d’échange public après la mise en ligne Fort accompagnement, présence d’experts et interaction avec la communauté
Implication des partenaires Non concerné Co-investissement de grandes entreprises (Carrefour, Groupama, Danone, etc.)

Ce tableau met en lumière deux approches très distinctes. LANDE se démarque par son exigence en matière de sécurité financière, avec des prêts systématiquement garantis et une sélection drastique. C’est un modèle très cadré, qui rassure les investisseurs à la recherche de placements solides, mais limite la variété des projets.

Miimosa adopte une approche plus large et inclusive. Elle permet à des porteurs aux profils variés — parfois éloignés des critères bancaires classiques — d’accéder à du financement, en contrepartie d’un accompagnement renforcé. Elle s’adresse donc aussi à des investisseurs qui cherchent à soutenir des projets de transition, quitte à accepter un peu plus d’incertitude.

 

Comparaison LANDE vs. Miimosa, du point de vue de l’investisseur

On en arrive enfin au sujet qui t’intéresse sûrement le plus : en tant qu’investisseur, que vaut-il mieux choisir entre LANDE et Miimosa ? Chaque plateforme a ses avantages, ses limites, et surtout, sa logique propre. Pour t’aider à y voir clair, voici un tableau comparatif sur les principaux critères d’investissement :

Critères LANDE Miimosa
Type de prêts Prêts garantis à des exploitations agricoles Prêts rémunérés, prêts obligataires, dons avec contreparties
Licence / Réglementation Licence ECSP européenne (depuis nov. 2023) + régulation FCMC Agrément PSFP délivré par l’AMF (FP-2024-05)
Taux d’intérêts / rentabilité Environ 10,9 % (moyenne) Moyenne observée : 6,52 % (jusqu’à 10 % selon projet)
Durée de placement 3 à 24 mois (moyenne de 19 mois) 12 à 72 mois (moyenne de 49 mois)
Garanties Hypothèques réelles + LTV très bas (44 % en moyenne) Variables selon les projets ; pas de garanties systématiques
Fiscalité Revenus soumis au PFU (30 %) Même fiscalité : PFU à 30 % ; possibilité de déduire les pertes selon la loi de 2016
Expérience (ancienneté) Créée en 2019 Créée en 2015 (offre de prêts depuis 2018)
Montant minimum d’investissement 50 € (auto-invest de base), 100 € (auto-invest avancé) 50 €
Investissement automatique Oui (auto-invest basique et avancé) Non
Liquidité Marché secondaire disponible Aucune liquidité avant l’échéance du projet

Si tu cherches une plateforme structurée, avec des prêts bien sécurisés et des rendements solides à court ou moyen terme, LANDE coche beaucoup de cases. La présence d’un marché secondaire et l’usage de garanties hypothécaires peuvent rassurer, surtout si tu débutes en crowdlending. En revanche, elle reste jeune et son auto-invest peut être contraignant pour les petits budgets.

Miimosa, elle, s’adresse aux investisseurs prêts à s’engager sur des projets à impact, sur des durées plus longues et avec un rendement souvent plus modéré. Tu y trouveras une grande diversité de projets, mais il faudra être plus sélectif dans tes choix, car tous ne présentent pas les mêmes garanties. Le fait qu’il n’y ait pas de fonction auto-invest ni de marché secondaire signifie que tu dois être prêt à rester actif dans ta gestion, et patient jusqu’à l’échéance.

Bref, tout dépend de ta stratégie et de ton profil.

Tableau_LANDE_vs_Miimosa

 

Retours d’expérience des investisseurs et performances des plateformes

Les retours d’expérience des utilisateurs permettent souvent de compléter l’analyse technique d’une plateforme. Du côté de LANDE, les avis d’investisseurs sont globalement positifs, notamment sur la qualité des garanties et la clarté des informations disponibles. La plateforme affiche un taux d’intérêt moyen de 10,9 %, avec une durée moyenne d’investissement de 19 mois. Le taux de défaut est relativement bas : 5,9 % pour les prêts en retard de plus de 90 jours, et 9,4 % si on inclut tous les retards. Ces chiffres restent raisonnables, surtout pour une plateforme encore jeune, même si le manque de recul incite à rester vigilant.

L’expérience utilisateur est cependant marquée par un processus d’inscription exigeant, notamment à cause de la demande de relevés bancaires. Mais ce niveau de contrôle, imposé par la régulation lettone et Lemonway, est perçu comme un gage de sérieux. Autre bémol : la fonction auto-invest est jugée peu adaptée aux petits portefeuilles, surtout en version avancée, qui impose un ticket minimum de 100 € par projet.

Pour Miimosa, les performances sont plus contrastées. Le rendement moyen est de 6,52 %, avec des projets souvent plus longs (en moyenne 49 mois). L’approche à impact plaît beaucoup à une communauté engagée : 47,6 % des répondants d’une enquête déclaraient y investir régulièrement. Les investisseurs apprécient la diversité des projets, la richesse des fiches descriptives, et les partenariats de cofinancement avec des grands groupes (Carrefour, Groupama, Danone…).

Cependant, le taux de défaut reste flou, faute d’indicateurs complets publiés au format FPF. De plus, l’absence de marché secondaire rend tout retrait impossible avant l’échéance. Cela limite la flexibilité, surtout sur des durées longues.

En résumé, LANDE séduit par sa rigueur et ses performances, là où Miimosa valorise l’impact et l’engagement. À chacun de voir ce qu’il privilégie : rentabilité, sécurité, ou utilité sociale.

 

La complémentarité entre LANDE et Miimosa

Si tu hésites entre LANDE et Miimosa, la bonne nouvelle, c’est qu’il n’est pas nécessaire de choisir. Ces deux plateformes ne sont pas concurrentes au sens strict : elles répondent à des objectifs d’investissement différents et peuvent très bien coexister dans un portefeuille diversifié, tant pour les investisseurs que pour les porteurs de projets.

Du côté investisseur, LANDE s’adresse plutôt à ceux qui cherchent des placements relativement sécurisés, avec des garanties solides (hypothèques, ratio prêt-valeur bas), des durées d’engagement courtes à moyennes, et un rendement supérieur à la moyenne du secteur (autour de 10,9 %). C’est un choix pertinent si tu veux générer des revenus passifs réguliers tout en soutenant l’agriculture de façon structurée.

Miimosa, de son côté, propose une autre approche : investir dans des projets à fort impact social ou environnemental, parfois à plus long terme, avec des rendements plus modestes mais une dimension humaine beaucoup plus marquée. Si tu veux donner du sens à ton épargne, participer à la transition agroécologique ou soutenir des porteurs de projets de terrain, c’est une excellente piste. Tu pourras choisir entre des dons avec contrepartie ou des prêts rémunérés.

Du côté porteurs de projets, là aussi les deux plateformes sont complémentaires. LANDE conviendra à des exploitants agricoles déjà bien établis, ayant des garanties foncières à offrir. Miimosa pourra accompagner des structures plus petites ou émergentes, souvent dans des logiques d’innovation ou de transition, avec un accompagnement plus pédagogique et une exposition médiatique plus forte.

Bref, si ton objectif est de diversifier ton épargne tout en restant dans le secteur agricole, utiliser à la fois LANDE et Miimosa te permet de combiner performance financière et utilité sociale.

 

Les alternatives à LANDE et Miimosa

Si tu explores le financement participatif dans le secteur agricole ou à impact, sache qu’il existe d’autres plateformes qui peuvent compléter ou remplacer LANDE et Miimosa selon ton profil d’investisseur et tes objectifs.

🌿 Pour des projets à impact écologique ou énergétique

Lendosphere et Enerfip sont deux alternatives solides pour ceux qui veulent investir dans la transition énergétique.

  • Lendosphere propose principalement des obligations liées à des projets d’énergies renouvelables (éolien, solaire), souvent portés par des PME ou des collectivités.

  • Enerfip se concentre aussi sur les ENR, avec un positionnement plus technologique, et une interface bien pensée pour suivre ses investissements.
    Les taux proposés varient de 5 à 8 %, et les durées d’investissement sont en général plus longues (3 à 6 ans).

🌍 Pour diversifier à l’international

Debitum et Income Marketplace sont deux plateformes européennes intéressantes pour ceux qui cherchent à sortir du cadre franco-letton.

  • Debitum propose des prêts à des PME européennes avec garanties d’actifs et rendement moyen autour de 11 %.

  • Income Marketplace, plus récente mais en croissance, mise sur la transparence et l’assurance d’un rendement stable (environ 12 %), tout en offrant la possibilité de filtrer finement les risques associés aux originators.

🧱 Pour les amateurs de sécurité ou d’immobilier rural

EstateGuru peut être une alternative à LANDE si tu cherches un modèle fondé sur des prêts garantis par hypothèque.

  • Présente dans plusieurs pays européens, la plateforme finance des projets immobiliers, souvent à usage agricole ou semi-rural.

  • Le ratio prêt-valeur moyen y est plus élevé (autour de 60 %), mais la plateforme affiche une expérience plus longue et une large base d’investisseurs.

👫 Pour les dons et les projets locaux

Si c’est la logique du don qui t’intéresse, en particulier pour des projets agricoles ou alimentaires de proximité, tu peux aussi explorer :

  • Blue Bees, qui propose des campagnes de dons avec ou sans contreparties dans l’agroécologie,

  • Zeste (par la Nef), qui finance des projets écologiques et citoyens avec une forte dimension locale.

 

Quel choix pour ton portefeuille ?

LANDE et Miimosa incarnent deux approches très différentes du financement participatif agricole, mais qui se complètent plus qu’elles ne s’opposent. L’une mise sur la structure, la sécurité et la performance dans une logique d’investissement. L’autre valorise l’engagement, la transition et l’impact positif dans une logique citoyenne.

Choisir entre les deux dépend surtout de ce que tu attends de ton investissement. Tu cherches un rendement attractif, des garanties solides et une plateforme rigoureuse ? LANDE est clairement ta candidate. Tu veux donner du sens à ton épargne, soutenir des projets concrets de transformation agricole ou alimentaire, et suivre l’évolution d’un porteur engagé ? Miimosa t’offrira cette possibilité, même si cela implique d’accepter un rendement plus modeste et un horizon plus long.

Dans les deux cas, ces plateformes montrent que l’investissement peut aussi servir à construire l’avenir du monde agricole, autrement qu’en passant par les circuits bancaires classiques. Et si tu veux aller plus loin, rien ne t’empêche de diversifier entre les deux, pour combiner rentabilité et utilité sociale dans un portefeuille équilibré.

Emmanuelle

Installée en Allemagne depuis quelques années, je m'intéresse au développement personnel et à la liberté financière. Le crowdlending est à mon sens l'une des voies les plus accessibles pour se créer des revenus passifs. Découvrons-la ensemble !

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